Le village tient son nom du saint du vivarais ANDEOL.
L’appellation SAINT ANDIOL est relativement récente car dans les écrits du 17e siècle, on retrouve la forme Saint Andéol (la forme latine étant Sancti-Andéoli).
Au 3e siècle, Arles ayant été relevé du rang de colonie Romaine, Saint-Andiol faisait partie de cette colonie. En 311, le christianisme devenant religion d’état, Marseille domine avec l’évêché d’Onesus. Ainsi, Saint-Andiol a été sous la dépendance tantôt d’Arles, tantôt de Marseille et cela jusqu’au 10e siècle.
Au siècle suivant, alors que de petits conflits éclatent entre Arles et Marseille, un évènement aura son importance dans l’avenir du village : la fondation de l’abbaye de Saint Victor. Saint-Andiol, légué par Guillaume 1er à cette abbaye, devient une propriété privée protégée par des ecclésiastiques. Le village est véritablement né autour d’un édifice religieux qui pourrait être, soit un autel, soit un oratoire en l’honneur de Saint Andéol.
C’est à partir de cette époque que nous retrouvons des traces concrètes de notre village dans des actes provenant du cartulaire de l’abbaye de Saint Victor.
L’appellation SAINT ANDIOL est relativement récente car dans les écrits du 17e siècle, on retrouve la forme Saint Andéol (la forme latine étant Sancti-Andéoli).
Au 3e siècle, Arles ayant été relevé du rang de colonie Romaine, Saint-Andiol faisait partie de cette colonie. En 311, le christianisme devenant religion d’état, Marseille domine avec l’évêché d’Onesus. Ainsi, Saint-Andiol a été sous la dépendance tantôt d’Arles, tantôt de Marseille et cela jusqu’au 10e siècle.
Au siècle suivant, alors que de petits conflits éclatent entre Arles et Marseille, un évènement aura son importance dans l’avenir du village : la fondation de l’abbaye de Saint Victor. Saint-Andiol, légué par Guillaume 1er à cette abbaye, devient une propriété privée protégée par des ecclésiastiques. Le village est véritablement né autour d’un édifice religieux qui pourrait être, soit un autel, soit un oratoire en l’honneur de Saint Andéol.
C’est à partir de cette époque que nous retrouvons des traces concrètes de notre village dans des actes provenant du cartulaire de l’abbaye de Saint Victor.